MrBeast Burger : Un partenariat qui tourne au vinaigre !

Le célèbre YouTubeur MrBeast, également connu sous le nom de Jimmy Donaldson, est sur le point de mettre fin à son partenariat avec Virtual Dining Concepts (VDC), une entreprise de “ghost kitchen” qui exploite sa chaîne de fast-food MrBeast Burger en livraison uniquement.

Selon Bloomberg, MrBeast poursuit VDC pour avoir prétendument terni sa marque en privilégiant une expansion rapide au détriment de la qualité. La nourriture de qualité médiocre a suscité de vives critiques de la part des clients, mettant ainsi en péril la réputation du YouTuber.

MrBeast Burger : Des milliers de clients déçus par la qualité médiocre

D’après de nombreuses évaluations, les burgers de MrBeast Burger sont décrits comme “impropres à la consommation”, “répugnants” et d’autres termes peu flatteurs. Des milliers de clients se sont plaints de viande crue, de frites froides, d’ingrédients manquants et de commandes jamais livrées.

Certains restaurants partenaires ont même livré les commandes dans des emballages génériques ou des sacs provenant de 7-Eleven. Les avocats de MrBeast affirment que VDC a refusé ou été incapable de résoudre les problèmes de qualité lorsqu’il a été contacté.

Des royalties non versées et une utilisation abusive de la marque

Malgré les revenus générés par MrBeast Burger, le YouTuber affirme n’avoir jamais reçu “un sou” de VDC. Il soutient également que la chaîne virtuelle utilise fréquemment sa marque et enregistre des marques commerciales sans son consentement.

De plus, VDC aurait montré peu d’intérêt à soutenir les restaurants traditionnels, craignant que cela ne réduise ses propres profits. Selon la plainte, VDC utilise le nom de MrBeast pour attirer d’autres célébrités.

Les ghost kitchens sous le feu des projecteurs

Malgré l’issue de cette affaire judiciaire, les “ghost kitchens” continueront d’exister. Ces cuisines fantômes permettent aux entrepreneurs de lancer des restaurants avec une empreinte physique réduite, en s’appuyant sur des services de livraison tels que DoorDash et Uber Eats. Cependant, cette action en justice met en lumière les problèmes potentiels liés à ces établissements. En l’absence de présence physique, ils ne sont pas toujours soumis aux mêmes contrôles que les restaurants traditionnels.

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